Si l’on analyse à fond, les Face books sont la représentation écrite du Tchat entre les internautes sur le Web. Les plus jeunes participants ont 8 ans, les plus vieux sont indéterminables. L’on se parle de tout et même si certains mentent au sujet de leur identité, les Face Books résument sa vie à part entière et il n’y a aucun pseudo, tout est vrai à moins qu’on mente sur son identité.

Photo, adresse et numéro de téléphone sont les éléments dangereux qu’il ne faut pas faire circuler n’importe. Publier sa vie sur Internet signifie qu’on n’a pas le moindre regret sur son utilisation, de toute manière, toute la population mondiale peut le consulter. Le danger du Face Books réside sur l’utilisation de ces informations par une personne tierce. Plus votre profil est intéressant, plus il attire l’attention des maisons de presse tel que « Monsieur tout le monde » il y a peu de temps: on est soi même le centre d’intérêt de la presse et fais le bonheur des paparazzis.

Faut compte ou vrai, on dévoile tout, Cv, nom et prénoms, numéro de téléphone portable,, vie professionnelle et amoureuse, amis et ennemis que quelques fois, on perd une partie de sa vie privée. Les Face Books attire déjà des milliers d’adhérents après 5 ans d’existence : des comptes soft aux comptes hard, certains se sont déjà fait avoir. On a déjà enregistré quelques cas poursuites judiciaires ou autre recours au tribunal pour usurpation d’identité. Le mieux c’est de gérer son propre blog en y mettant les moments merveilleux de la vie avec des commentaires.

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